Les frontaliers suisses bénéficient du régime de retraite Helvète qui repose sur le principe des trois piliers. Celui-ci, à l’instar du système français a ses insuffisances. En effet, les deux premiers niveaux du dispositif, l’assurance vieillesse suisse et la prévoyance professionnelle n’assurent aux retraités seulement 60% des revenus perçus pendant l’activité.
Pour palier à cette insuffisance, le 3ème pilier suisse permet par le biais de contrats individuels de capitalisation, de compléter la rente et de bénéficier par la même occasion d’avantages fiscaux.