Cet été-là nous réservait une surprise particulièrement pénible, la chaleur dans le labyrinthe minéral de ce vieux quartier des Chartrons était insupportable, les pavés brulaient les pieds et tout être vivant ne pensait qu’à s’immerger dans l’eau… on n’avait pas vu tomber une seule goutte du précieux liquide depuis trois mois !
Claudie et Luc avait quitté avec regret la climatisation de la voiture au 3° sous-sol du parking des « Grands Hommes » pour gagner prestement leur chambre d’hôtel où ils savaient retrouver la fraîcheur d’un autre climatiseur.
« Si on prenait un bain ? La suite sur http://jpt223.over-blog.fr le blog dédié à « Soleil noir à la Palmyre »